- Temps passé dans l’entreprise depuis l’arrivée du salarié.

- Point de départ : entrée du salarié dans l’entreprise, période d’essai incluse.

- Sauf dispositions conventionnelles plus avantageuses, ancienneté suspendue par certaines périodes (maladie, congé parental d’éducation comptant pour moitié, congé sans solde, congé sabbatique).

- Prise en compte  obligatoire de tout ou partie de l’ancienneté acquise avant l’entrée du salarié dans l’entreprise si :

• Embauche en CDI d’un salarié en CDD : durée totale du CDD prise en compte pour l’ancienneté.

Remarque : En cas de  CDD successifs sans interruption, l’ancienneté est acquise à l’issue du premier CDD.
≠ En cas de CDD successifs mais interrompus, la durée du dernier CDD est seule prise en compte pour l’ancienneté.

• Embauche d’un apprenti : durée du contrat d’apprentissage prise en compte pour l’ancienneté.

• Embauche d’un stagiaire : durée du stage prise en compte pour l’ancienneté quand le stage est supérieur à 2 mois.

• Embauche d’un intérimaire : prise en compte des missions effectuées  au cours des 3 mois précédents pour l’ancienneté.

- Certaines conventions collectives reprennent l’ancienneté acquise d’un salarié venant d’une autre entreprise appliquant la même convention collective.

- Possibilité  de négocier à l’embauche et de convenir avec le salarié d’une reprise d’ancienneté, à inscrire au contrat de travail pour l’évaluation des indemnités.

- Sur la prime d’ancienneté conventionnelle et les congés conventionnels supplémentaires.

- Sur l’indemnité de rupture, et éventuellement sur la durée du préavis.